mardi 26 avril 2016

TROYES : Banquet Fêtes de la Bonneterie

Très belle photo Marcus d'un banquet de Fêtes de la Bonneterie, dans hall de la Laborieuse boulevard de Dijon à St-Julien-les-Villas. Années 30

samedi 2 avril 2016

TROYES Grande Guerre Cavaliers militaires au Vouldy

Cavalier militaire photographié au Vouldy par Paul Martinet
Médecin militaire photographié au Vouldy certainement par Paul Martinet qui tenait salon précisément à cet endroit vers le Chalet Vert.


vendredi 25 mars 2016

mercredi 16 mars 2016

TROYES Eglise réformée

Le temple de Troyes accueille les réformés troyens qui constituent 50 % des protestants aubois. Pour l'autre moitié des fidèles, au culte à Troyes s'ajoutent ceux de Brienne-le-Château et d'Estissac, chacun une fois par mois. L'ensemble de la communauté représente 0,3 % de la population du département. Le temple, construit sur les plans néo-gothiques de MM. H. Boulanger et E. Garrel, est inauguré le 19 mai 1859.



lundi 7 mars 2016

TROYES - Écluse du canal de la Haute-Seine travaux sur collecteur égouts

Travaux sur le grand collecteur des égouts. Derrière les ouvriers la porte de l'écluse. A droite le café du Midi à l'entrée du boulevard Danton et à gauche les Coopérateurs de Champagne ex  Laborieuse, vers 1958.
Pratiquement au même emplacement : Écluse du canal de la Haute-Seine, le temple à droite et la Laborieuse à gauche, vers 1880


lundi 22 février 2016

Emile DRIANT tué au Bois des Caures 22 février 1916





Souvenirs du Colonel Emile DRIANT

 Tué à l'ennemi le 22.02.1916, il meurt en Héros

Le 22 février 1916 DRIANT succombe au Bois des Caures le LCL Emile Driant, commandant les 56e et 59e BCP.


Rappelé à l'activité le 7.08.1914 (état-major gouverneur militaire de la place de Verdun).

Hors-cadres de réserve et commandant les 56e et 59e bataillons de chasseurs à pied le 10.05.1915.



Le 21 février 1916, au matin, un orage de feu éclate sur les divisions françaises massées autour de Verdun. Un million d'obus pilonnent la zone. En quelques heures, tout un paysage, déchiqueté, devient un effroyable chaos : la fameuse "cote 304" aura perdu 7 mètres de hauteur.  

Au milieu de l'après-midi, l'infanterie allemande monte à l'assaut. Dans le bois des Caures, les 56ème et 59ème bataillons de chasseurs à pied, seuls face à une division, n'ignorent rien de ce qui les attend : leur chef, le lieutenant-colonel Emile Driant, député de Meurthe-et-Moselle, qui va mourir en héros, ne leur a pas caché la vérité. A un contre dix, déjà décimés par le bombardement, les chasseurs résistent, mais perdent en 24 heures 90 % de leurs effectifs. Leur sacrifice contribue à bloquer l'avancée allemande et permet d'acheminer des renforts.

Les Allemands l'ont inhumé sans cercueil à l'endroit où il est tombé, le CBA Renouard est enterré à ses côtés.
Le 9 août 1919, dans la matinée, ils ont été identifiés par l'adjudant Torréano et quatre soldats identificateurs qui ont ouvert les deux tombes en présence de Mme Driant, du Général Renouard, le Gal. Valentin (gouverneur de Verdun), du Ltn Robin, chef de l'état civil, du Curé de Ville......
Les restes ont été formellement reconnus, les galons étaient encore nets sur l'uniforme.
Le Général Renouard fît transférer son fils au cimetière du Faubourg-Pavé à Verdun.
Le Colonel Driant fut mis en bière et laisser sur place.
Son cercueil et sa tombe ont été retrouvés intacts le 9 octobre 1922 lors de sa seconde exhumation.
source :http://lagrandeguerre.cultureforum.net/t10446-lieutenant-colonel-driant
Notre Dame Paris. Messe dite par le cardinal Amette à la mémoire du colonel Driant 

Carte postale rare Prime de "La Voix des Caures"
1934 : Exhumation, Ville-Devant-Chaumont - Bois des Caures - Minutieux examen d'identification du corps de Colonel DRIANT. Le docteur Pelas, l'Abbé WEPPE tient entre ses mains le crâne. Grégoire commissaire de police et le capitaine Clément, officier d'Etat-Civil.

Emile Driant (1855-), traumatisé par la défaite de Sedan, gendre du général Boulanger, s’engage dans l’armée et trouvera une mort héroïque à Verdun en 1916. Entre temps, il aura écrit toute une littérature populaire et patriotique sur son obsession des invasions, prophétisant les périls et les guerres, devenant l’un des auteurs prolifiques du roman d’aventures coloniales et inventant le récit militaire d’anticipation, dans une description apocalyptique d’un monde total au bord de l’anéantissement. Outre le danger allemand qu’il avait prédit dès 1880, il écrit sur le réveil de l’Islam (« L’Invasion noire ») et imagine le triomphe d’une dictature prolétarienne et marxiste (« La Révolution de demain »). Son bellicisme se nourrit de l’idée lancinante du déclin de la France. 


dimanche 21 février 2016

Commandant Emile DRIANT à TROYES


Le nom du lieutenant-colonel Driant est indissociable de la bataille de Verdun et des traditions des chasseurs à pied. Élevé entre les Deux Guerres au rang de héros national, il a laissé une vingtaine
de romans d’aventure qui ont fait de lui le Jules Verne militaire, sous la signature de Capitaine Danrit.

 Le séjour à Troyes du Cdt Driant : 12 juillet 1899 - 24 décembre 1905
En décembre 1898, il reçoit le commandement du 1er bataillon de chasseurs à pied stationné dans la caserne Beurnonville à Troyes.

Sa détermination et son courage le conduisent à risquer sa vie le 13 janvier 1901 lorsqu'il intervient pour raisonner le forcené Coquard dans le faubourg de Sainte-Savine.

Malgré ses brillants états de services, Driant n'est pas inscrit au tableau d'avancement. Politiquement engagé dans un catholicisme de droite, il subit les contrecoups de l'anticléricalisme ambiant des années de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat, et se voit inculpé dans l'affaire des fiches où les officiers auraient été notés en fonction de leur opinions religieuses.

Une campagne de presse lui reproche d'avoir organisé un office en la cathédrale de Troyes à l'occasion de la fête de Sidi-Brahim et d'avoir attenté à la liberté de conscience de ses hommes en les contraignant à assister à ce même office.

Frappé de quinze jours d'arrêt, il demande sa mise à la retraite et décide d'entrer en politique afin de défendre l'Armée au Parlement ; il a alors cinquante ans.

14 juillet 1904 : Commandant Driant à l'angle du boulevard du 14 juillet et de la rue de la Grande-Tannerie à Troyes


Émile, Augustin, Cyprien Driant, 11 septembre 1855 - 22 février 1916, était un officier de carrière français. Gendre du général Boulanger, écrivain sous le pseudonyme de Danrit ou capitaine Danrit, député deNancy.
Il reprend le service au début de la Première Guerre mondiale. Il meurt à Verdun à la tête des 56e et 59e bataillons de chasseurs, en février 1916.
Le commandant Driant à Troyes : Il nommé en juillet 1899 chef de corps du 1er bataillon de chasseurs à pied en garnison à Troyes. Il exerce son commandement avec mérite relatent ses subordonnés et la presse locale, et fait du premier bataillon, le bataillon d’élite connu dans toute l’armée française sous le nom de « Bataillon Driant » très populaire en Champagne.  
Son commandement à Troyes : 12 juillet 1898, Chef  de Bataillon, Chef de corps du 1er B.C.P., à Troyes, jusqu'à son départ à la retraite, suite à une punition de 15 jours d'arrêts. 
Photographies collection Philippe BRUN

mardi 16 février 2016

Neuville - Troyes - Dessins de Gustave LANCELOT

Documents rares dessins de Gustave Lancelot (1830-1906), Photographe à Troyes (Aube) de la fin des années 1850 jusqu'au début du XXe siècle. - Dessinateur
Notre Dame des Vignes à Neuville-sur-Seine (10)

Cette imposante statue de la vierge domine le village de ses 23 mètres de hauteur.
Elle représente Notre Dame tenant une grappe de raison dans la main droite et implorant le ciel pour la protection des vignes de cette région de production de Champagne.
Elle a été réalisée en 1864, sur une commande de l'union des vignerons. Aux quatre angles du socle, quatre médaillons entourés de grappes de raisins et de feuilles de vignes rappellent la date de création et l'origine des donateurs.
Depuis le site une vue magnifique s'ouvre sur toute la vallée de la Seine. Une table d'orientation et un espace aménagé permettent de profiter pleinement du site.
Notez l'installation de 42m² de panneaux photovoltaïques qui servent à l'éclairage des 3 projecteurs de la statue; une initiative intéressante!!!

Pour accéder à la statue, à la sortie de Neuville sur Seine en direction de Buxeuil sur la D971, il faut prendre un chemin goudronné à droite qui indique Notre Dame des Vignes.

Numéro du petit patrimoine : 10262_1

dimanche 14 février 2016

Troyes – Les cartes postales signées E. Mignon


Emile MIGNON était un photographe établi à Nangis et Mormant (Seine et Marne), vers 1925. D'abord photographe de studio, il a commencé l'édition de cartes postales par des clichés noir et blanc non numérotés avec seulement son nom ; puis il a porté sa griffe en blanc sur fond sombre. Il est passé ensuite à la numérotation de ses clichés, puis à leur colorisation.
Adresses relevées sur cartes
 1/ Photo-Edit. E Mignon, Nangis, Seine-et-Marne - Tél. 145

2/ Ed. de Luxe E. MIGNON - Villeneuve-la-Guyard (Yonne) - Tél. : 70 –

Mignon sera Repris par ESTEL – Lui-même absorbé par VALOIRE, qui devient VALOIRE-ESTEL. Nouvelle reprise par le Groupe LECONTE…

Pas facile de démêler les éditions et surtout leur période de production.

L'éditeur E. Mignon a commencé dans les années 1925 comme photographe de studio avant de se lancer dans la carte postale, avec des clichés non numérotés légendés du côté de l'image, puis des clichés numérotés de couleur sépia et des clichés, toujours numérotés et légendés du côté de l'image mais colorisés en bleu. 
Ce n'est que plus tard que sa "marque" est apposée sur des cartes postales de qualité photographique, toujours légendées et numérotées mais du côté de la correspondance désormais.
 
Certaines de ces nouvelles cartes postales sont d'ailleurs de format 10 x 15 et non plus 9 x 14 et peuvent reprendre des clichés édités antérieurement (la numérotation et la légende sont alors inchangées.
 
D'ailleurs, les cartes de format 9 x 14 ont un bord blanc alors que les 10 x 15 sont à bord cranté. d’après Budd sur CPARAMA.
Tampon relevé sur carte photo

Rue François Gentil Troyes, vers 1950, épreuve photo 12 X 18 cm , pour tirage de carte postale


Carte postale dite semi-moderne, années 50

Plan large, format inhabituel colorisé


Edition sur commande


jeudi 4 février 2016

dimanche 24 janvier 2016

Le Furet Troyen, journal 1868

Le Furet Troyen, journal satyrique de la ville de Troyes, du n°1 au n° 49, soit du 13 septembre 1868 à décembre 1872. 
 Gustave Carré, directeur-gérant

mardi 19 janvier 2016

Le Moulin de Courteron

 Courteron fut la première commune de l'Aube (et l'une des premières de France) électrifiée par elle-même. Le don de la force motrice ayant été fait par Monsieur Nicolle, au retour des Amériques où il avait puisé cette idée. Propriétaire du Moulin il put procéder d'abord à l'éclairage des rues de la commune, et en 1888 cette inauguration officielle se marqua d'une fête inoubliable. »
Source : Almanach 1981 l'Est Eclair

samedi 16 janvier 2016

TROYES - Essébécolor

Essébécolor, qui se cache sous ce nom ?
Réponse : seyorT à selatsop setrac ed ruetidé te eriarbil rialcnurB ruevuaS

vendredi 8 janvier 2016

TROYES - Hôtel Terminus


L'Hôtel TERMINUS, siège de la Kommandantur a été incendié le jeudi 24 août 1944, lors de la Libération de la ville de Troyes.

jeudi 7 janvier 2016

TROYES - PONT-HUBERT - Buvette du Transvaal

Le nom de la buvette fait référence à la Guerre des Boers
Le Transvaal est une région située dans le nord-est de l'Afrique du Sud. Transvaal peut désigner : la Zuid-Afrikaansche Republiek : une république boer constituée au XIXᵉ siècle en amont du fleuve Vaal.

Le hameau de Pont-Hubert à l’origine de la commune de Pont Sainte Marie a toujours été tête de pont sur la Seine. (Mais ce n'est pas celui sur lequel on circule aujourd'hui). Cette position fera du village un lieu de passage important dès la période gallo-romaine et notamment de bien des armées.

Dès cette époque, c’est le seul pont au Nord de Troyes et un important carrefour de voies romaines. En 1785, le hameau de Pont-Hubert est rattaché à la commune de Pont Sainte Marie. En Février 1814, Napoléon fait brûler ce grand Pont pour retarder l’avance des alliés.