mardi 29 mars 2016
vendredi 25 mars 2016
lundi 21 mars 2016
mercredi 16 mars 2016
TROYES Eglise réformée
Le temple de Troyes accueille les réformés troyens qui constituent 50 % des protestants aubois. Pour l'autre moitié des fidèles, au culte à Troyes s'ajoutent ceux de Brienne-le-Château et d'Estissac, chacun une fois par mois. L'ensemble de la communauté représente 0,3 % de la population du département. Le temple, construit sur les plans néo-gothiques de MM. H. Boulanger et E. Garrel, est inauguré le 19 mai 1859.
samedi 12 mars 2016
lundi 7 mars 2016
TROYES - Écluse du canal de la Haute-Seine travaux sur collecteur égouts
Pratiquement au même emplacement : Écluse du canal de la Haute-Seine, le temple à droite et la Laborieuse à gauche, vers 1880 |
lundi 22 février 2016
Souvenirs du Colonel Emile DRIANT
Tué à l'ennemi le 22.02.1916, il meurt en Héros
Le 22 février 1916 DRIANT succombe au Bois des Caures le LCL Emile Driant, commandant les 56e et 59e BCP.
Rappelé
à l'activité le 7.08.1914 (état-major gouverneur militaire de la place de
Verdun).
Hors-cadres de réserve et
commandant les 56e et 59e bataillons de chasseurs à pied le 10.05.1915.
Le 21 février 1916, au
matin, un orage de feu éclate sur les divisions françaises massées autour de
Verdun. Un million d'obus pilonnent la zone. En quelques heures, tout un
paysage, déchiqueté, devient un effroyable chaos : la fameuse "cote
304" aura perdu 7 mètres de hauteur.
Au milieu de l'après-midi, l'infanterie allemande monte à
l'assaut. Dans le bois des Caures, les 56ème et 59ème bataillons de chasseurs à
pied, seuls face à une division, n'ignorent rien de ce qui les attend :
leur chef, le lieutenant-colonel Emile Driant, député de Meurthe-et-Moselle,
qui va mourir en héros, ne leur a pas caché la vérité. A un contre dix, déjà
décimés par le bombardement, les chasseurs résistent, mais perdent en 24 heures
90 % de leurs effectifs. Leur sacrifice contribue à bloquer l'avancée allemande
et permet d'acheminer des renforts.
Les Allemands
l'ont inhumé sans cercueil à l'endroit où il est tombé, le CBA Renouard est
enterré à ses côtés.
Le 9 août
1919, dans la matinée, ils ont été identifiés par l'adjudant Torréano et quatre
soldats identificateurs qui ont ouvert les deux tombes en présence de Mme
Driant, du Général Renouard, le Gal. Valentin (gouverneur de Verdun), du Ltn
Robin, chef de l'état civil, du Curé de Ville......
Les restes
ont été formellement reconnus, les galons étaient encore nets sur l'uniforme.
Le Général
Renouard fît transférer son fils au cimetière du Faubourg-Pavé à Verdun.
Le Colonel
Driant fut mis en bière et laisser sur place.
Son cercueil
et sa tombe ont été retrouvés intacts le 9 octobre 1922 lors de sa seconde
exhumation.
source :http://lagrandeguerre.cultureforum.net/t10446-lieutenant-colonel-driantNotre Dame Paris. Messe dite par le cardinal Amette à la mémoire du colonel Driant |
dimanche 21 février 2016
Commandant Emile DRIANT à TROYES
Le nom du lieutenant-colonel Driant est indissociable de la bataille de
Verdun et des traditions des chasseurs à pied. Élevé entre les Deux Guerres au
rang de héros national, il a laissé une vingtaine
de romans d’aventure qui ont fait de lui le Jules Verne militaire, sous la signature de Capitaine Danrit.
Le séjour à Troyes du Cdt Driant : 12 juillet 1899 - 24 décembre 1905
En décembre
1898, il reçoit le commandement du 1er bataillon de chasseurs à pied stationné
dans la caserne Beurnonville à Troyes.
Sa
détermination et son courage le conduisent à risquer sa vie le 13 janvier 1901
lorsqu'il intervient pour raisonner le forcené Coquard dans le faubourg de
Sainte-Savine.
Malgré ses
brillants états de services, Driant n'est pas inscrit au tableau d'avancement.
Politiquement engagé dans un catholicisme de droite, il subit les contrecoups
de l'anticléricalisme ambiant des années de la loi de séparation des Eglises et
de l'Etat, et se voit inculpé dans l'affaire des fiches où les officiers
auraient été notés en fonction de leur opinions religieuses.
Une campagne
de presse lui reproche d'avoir organisé un office en la cathédrale de Troyes à
l'occasion de la fête de Sidi-Brahim et d'avoir attenté à la liberté de
conscience de ses hommes en les contraignant à assister à ce même office.
Frappé de
quinze jours d'arrêt, il demande sa mise à la retraite et décide d'entrer en
politique afin de défendre l'Armée au Parlement ; il a alors cinquante ans.
colonel-emile-driant : http://horizon14-18.eu/colonel-emile-driant.html
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14 juillet 1904 : Commandant Driant à l'angle du boulevard du 14 juillet et de la rue de la Grande-Tannerie à Troyes
Émile,
Augustin, Cyprien Driant, 11 septembre 1855 - 22 février 1916,
était un officier de
carrière français. Gendre du général
Boulanger, écrivain sous le pseudonyme de Danrit ou capitaine
Danrit, député deNancy.
Il reprend le service au début de la Première Guerre mondiale. Il meurt à Verdun à la tête des 56e et 59e bataillons
de chasseurs, en février 1916.
Le commandant Driant à Troyes : Il nommé en juillet 1899 chef de corps du 1er bataillon de chasseurs à pied en garnison à Troyes. Il exerce son commandement avec mérite relatent ses subordonnés et la presse locale, et fait du premier bataillon, le bataillon d’élite connu dans toute l’armée française sous le nom de « Bataillon Driant » très populaire en Champagne.
Son commandement à Troyes : 12 juillet 1898, Chef de Bataillon, Chef de corps du 1er B.C.P., à Troyes, jusqu'à son départ à la retraite, suite à une punition de 15 jours d'arrêts. Photographies collection Philippe BRUN |
mardi 16 février 2016
Neuville - Troyes - Dessins de Gustave LANCELOT
Documents rares dessins de Gustave Lancelot (1830-1906), Photographe à Troyes (Aube) de la fin des années 1850 jusqu'au début du XXe siècle. - Dessinateur |
dimanche 14 février 2016
Troyes – Les cartes postales signées E. Mignon
Emile MIGNON
était un photographe établi à Nangis et Mormant (Seine et Marne), vers 1925. D'abord photographe de studio, il a commencé l'édition de cartes postales par des clichés noir et blanc non numérotés avec seulement son nom ; puis il a
porté sa griffe en blanc sur fond sombre. Il est passé ensuite à la
numérotation de ses clichés, puis à leur colorisation.
Adresses relevées sur cartes
1/
Photo-Edit. E Mignon, Nangis, Seine-et-Marne - Tél. 145
2/ Ed. de Luxe E. MIGNON - Villeneuve-la-Guyard (Yonne) - Tél. : 70 –
Mignon sera Repris par ESTEL –
Lui-même absorbé par VALOIRE, qui devient VALOIRE-ESTEL. Nouvelle reprise par
le Groupe LECONTE…
Pas facile de
démêler les éditions et surtout leur période de production.
L'éditeur E. Mignon a commencé
dans les années 1925 comme photographe de studio avant de se lancer dans la carte postale, avec des clichés non numérotés légendés du côté de
l'image, puis des clichés numérotés de couleur sépia et des clichés, toujours
numérotés et légendés du côté de l'image mais colorisés en bleu.
Ce n'est que plus tard que sa "marque" est apposée sur des cartes postales de qualité photographique, toujours légendées et numérotées mais du côté de la correspondance désormais.
Ce n'est que plus tard que sa "marque" est apposée sur des cartes postales de qualité photographique, toujours légendées et numérotées mais du côté de la correspondance désormais.
Certaines de ces nouvelles cartes postales sont d'ailleurs de format 10 x 15 et non plus 9 x 14 et peuvent reprendre des clichés édités antérieurement (la numérotation et la légende sont alors inchangées.
D'ailleurs, les cartes de format 9 x 14 ont un bord blanc alors que les 10 x 15 sont à bord cranté. d’après Budd sur CPARAMA.
Tampon relevé sur carte photo |
Rue François Gentil Troyes, vers 1950, épreuve photo 12 X 18 cm , pour tirage de carte postale |
Carte postale dite semi-moderne, années 50 |
Plan large, format inhabituel colorisé |
Edition sur commande |
jeudi 4 février 2016
dimanche 24 janvier 2016
mardi 19 janvier 2016
Le Moulin de Courteron
Courteron fut la première commune de l'Aube (et l'une des premières de France) électrifiée par elle-même. Le don de la force motrice ayant été fait par Monsieur Nicolle, au retour des Amériques où il avait puisé cette idée. Propriétaire du Moulin il put procéder d'abord à l'éclairage des rues de la commune, et en 1888 cette inauguration officielle se marqua d'une fête inoubliable. »
Source : Almanach 1981 l'Est Eclair
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samedi 16 janvier 2016
mardi 12 janvier 2016
vendredi 8 janvier 2016
jeudi 7 janvier 2016
TROYES - PONT-HUBERT - Buvette du Transvaal
Le nom de la buvette fait référence à la Guerre des Boers Le Transvaal est une région située dans le nord-est de l'Afrique du Sud. Transvaal peut désigner : la Zuid-Afrikaansche Republiek : une république boer constituée au XIXᵉ siècle en amont du fleuve Vaal.
Le hameau de Pont-Hubert à l’origine de la commune de Pont Sainte Marie a toujours été tête de pont sur la Seine. (Mais ce n'est pas celui sur lequel on circule aujourd'hui). Cette position fera du village un lieu de passage important dès la période gallo-romaine et notamment de bien des armées.
Dès cette époque, c’est le seul pont au Nord de Troyes et un important carrefour de voies romaines. En 1785, le hameau de Pont-Hubert est rattaché à la commune de Pont Sainte Marie. En Février 1814, Napoléon fait brûler ce grand Pont pour retarder l’avance des alliés.
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mardi 5 janvier 2016
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