J'ai bien connu ce café ( 1967-1976 )car j'ai habité à quelques maisons de là, derrière chez le coiffeur Buteau au 146 avenue Pierre Brossolette. Je crois que le tenancier en 1967 s'appelait M. Benoît, il avait toujours un tablier devant lui. En 1976, c'est Françoise qui le tenait d'ailleurs c'était " Chez Françoise ", notre " Laurette " à cette époque.
J'ai bien connu ce café ( 1967-1976 )car j'ai habité à quelques maisons de là, derrière chez le coiffeur Buteau au 146 avenue Pierre Brossolette. Je crois que le tenancier en 1967 s'appelait M. Benoît, il avait toujours un tablier devant lui. En 1976, c'est Françoise qui le tenait d'ailleurs c'était " Chez Françoise ", notre " Laurette " à cette époque.
Ah, merci, ça fait chaud au cœur de voir que des personnes se souviennent d'une époque oubliée de tous. Ou, tout du moins jamais évoquée. Aujourd'hui il est bien difficile de recueillir des souvenirs sur ces lieux fréquentés par les gens du quartiers. <j'ai dû passé devant, mais faisait-on attention à ce qui était familier". Bien cordialement, Jacques Roland Fournier, alias FOUINOS sur le Net
3 commentaires:
J'ai bien connu ce café ( 1967-1976 )car j'ai habité à quelques maisons de là, derrière chez le coiffeur Buteau au 146 avenue Pierre Brossolette.
Je crois que le tenancier en 1967 s'appelait M. Benoît, il avait toujours un tablier devant lui. En 1976, c'est Françoise qui le tenait d'ailleurs c'était " Chez Françoise ", notre " Laurette " à cette époque.
J'ai bien connu ce café ( 1967-1976 )car j'ai habité à quelques maisons de là, derrière chez le coiffeur Buteau au 146 avenue Pierre Brossolette.
Je crois que le tenancier en 1967 s'appelait M. Benoît, il avait toujours un tablier devant lui. En 1976, c'est Françoise qui le tenait d'ailleurs c'était " Chez Françoise ", notre " Laurette " à cette époque.
Ah, merci, ça fait chaud au cœur de voir que des personnes se souviennent d'une époque oubliée de tous. Ou, tout du moins jamais évoquée. Aujourd'hui il est bien difficile de recueillir des souvenirs sur ces lieux fréquentés par les gens du quartiers. <j'ai dû passé devant, mais faisait-on attention à ce qui était familier".
Bien cordialement,
Jacques Roland Fournier, alias FOUINOS sur le Net
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