dimanche 11 septembre 2016
jeudi 8 septembre 2016
lundi 5 septembre 2016
vendredi 26 août 2016
jeudi 18 août 2016
Éolienne de grand-papa...
vendredi 5 août 2016
lundi 25 juillet 2016
mercredi 13 juillet 2016
TROYES : Cheval sur le toit du Journal Le Petit Troyen, 1910
Cheval sur le toit du Journal Le Petit Troyen, 28/02/1910
Étonnante photo ! Une petite recherche va nous permettre de comprendre cette carte-photo liée au passage d'un cirque à Troyes.
Pourquoi
ce petit cheval sur la terrasse ? '"EMIR" sait monter seul les
escaliers. Il faisait l'objet de paris entre Luigi ROSSI et les incrédules...
Le cirque
Dépard-Plège était bien connu à Troyes. Les Plège (le gendre Cirque
ANCILLOTTI PLEGE ) sont à l'origine du cinéma au cirque municipal de
Troyes. (Les Cinémas à Troyes, J. Darbot, J. R. Fournier, M.
Toussaint. Voir aussi Despard-Plège,
(1891-1968) le clown qui fit débuter Zavatta…)
Plège, et
sa fille écuyère, puis sa veuve étaient concessionnaires du cirque fixe en bas
du bld Victor Hugo (1893). Celui qui a brûlé. Puis de celui à l'emplacement du
cirque en pierre reconstruit (1905) en dur suite à un second incendie un jour
de réunion électorale en 1901 (origine du feu, mal définie ?).
Voilà
comment ce petit cheval, une des attraction du cirque en tournée, est monté sur
la terrasse sommitale de l'immeuble du journal rue Thiers.
Articles de presse lors du passage du cirque à Nancy en 1910.
Avant 1900 : Le Cirque PLEGE au bas du boulevard Victor HUGO contre le mur de la caserne Beurnonville.
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mardi 12 juillet 2016
dimanche 10 juillet 2016
MARIE DE SALES CHAPPUIS Oblates Troyes
samedi 9 juillet 2016
TROYES 14-18, 'Des Munitions ! Encore des Munitions !"
Les métallurgistes sont en première ligne : serruriers,
fondeurs et constructeurs de métiers de bonneterie,
comme Jules Lebocey et Cie, fabriquent ainsi des
munitions. Mais la mobilisation n’épargne aucun secteur :
les teinturiers élaborent du coton poudre (explosifs) ;
les bonnetiers, les tanneurs et les meuniers produisent
des vêtements, des équipements ou encore de la farine
pour les soldats...
Situées dans la zone des armées, les entreprises auboises
mobilisées sont 65 à Troyes. Sources : "Si près des tranchées, l'Aube eb 1916", exposition Hôtel Dieu-le-Comte, j'usqu'en septembre 2016 -dossier-de-presse-1916 |
Industriels troyens en contrat avec le ministère : Société générale de Bonneterie fourniture de 155 G.P.F. Canon de 155 mm G.P.F. (Grande Puissance FILLOUX) PORON Lucien obus, grenades DUCHESNNE Paul fourniture de caisses à munitions GILLIER André fils collections d’une tête et d’un corps de gaines-relais LEBOCEY : Grande guerre et industrie : La Vie en Champagne n° 82 par Jean-Louis Humbert Les Établissements Lebocey dans la guerre. Troyes, 1914-1918 |
jeudi 7 juillet 2016
mercredi 6 juillet 2016
La Sainterie de Vendeuvre-sur-Barse (Aube) quel avenir ?
Une Manufacture d'Art Chrétien
Salle d'exposition des statues au temps de la splendeur de la manufacture. Carte postale E. MIGNON, fin années 1950.
source :Vendeuvre-sur-Barse aube
mardi 5 juillet 2016
vendredi 1 juillet 2016
TROYES FRONTSTALAG 124 - en 1940 - Camp de détention (gefangenenlager)
A l'emplacement des magasins d'usines
de St-Julien-les-Villas Aube
Halle vitrée des opérations de chargement déchargement des marchandises.
Les voitures hippomobiles venaient s'y mettre à quai.
"Camp des tanks de St Hubert" (Camp du Moulinet à Pont-Ste-Marie) |
Hôpital des Jacobins. Comme de 1914 à 1918, en 1940 le lycée à été équipé en hôpital de guerre.
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Aujourd'hui jours de soldes, quand nous déambulons dans les allées de MARQUES AVENUE. souvenons-nous des soldats français et coloniaux prisonniers des allemands et parqués au stalag 124.
L'amitié oui, l'oubli non !
lundi 27 juin 2016
mardi 21 juin 2016
samedi 18 juin 2016
TROYES : Catalogue de chaussures La Ruche Moderne, 1931-1932
Magasin spécial Chaussures, au 89, rue Emile Zola Troyes |
(1) Un faffiot ou fafiot est un article
chaussant pour bébé ou petit enfant, soit correspondant à des chaussures ou
chaussons pour bébé soit destiné aux petits enfants qui commencent à marcher.
Il correspond en technique de cordonnerie à un léger gabarit en bois
de chaussure pour (très) petit petons. Il s'agit d'une spécialité développée
par les nombreux cordonniers nîmois après les années 1880. Ce mot technique est
quelquefois utilisé par exemple dans la presse de l'entre-deux-guerres. On le
trouve dans un périodique spécialisé comme le bulletin mensuel de la
cordonnerie française en 1938. En 1899, le périodique parisien La
Réforme sociale précise que les cordonniers font des fafiots,
"souliers pour des enfants de un à deux ans".
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